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drisswillis
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Catégorie :
Blog Musique
Date de création :
15.08.2009
Dernière mise à jour :
27.08.2009
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à vendre du bon shit , les variétés :
- belladona
- bangi haze
- deep chunk
- malberry congolese
- mar
Par Top ganja-shit&, le 05.11.2017
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Par Top ganja-shit&, le 05.11.2017
bonjour, pour info ce texte a ete repris tel quel dans un journal lausanne cites sans citation de votre site,
Par jean Pierre, le 17.03.2010
aaah ! les franz ! que dire d'eux... ils sont tous simplement excellents !http://riwada nslalaine.cent erblo
Par riwadanslalaine, le 20.08.2009
oui, en effet, encore un groupe qui est passé par l'émission "pure démo" de pure fm avant de rencontrer le suc
Par riwadanslalaine, le 20.08.2009
Groupe légendaire de la fin des années 80, Guns N' Roses est né en 1985 à Los Angeles sous l'impulsion d'Axl Rose (chant), Duff McKagan (guitare basse), Izzy Stradin (guitare), Tracy Guns (guitare) - remplacé plus tard par Slash - et Bob Gardner (batterie) - remplacé par Steven Adler. La personnalité d'Axl Rose, réputé violent et tyrannique, y est pour beaucoup dans l'histoire de ce poids lourd du rock. Né William Bruce Rose le 6 février 1962, il grandit aux côtés d'un père pétri de religion, mais alcoolique et violent. Trouvant refuge dans la musique, il fonde à 17 ans un premier groupe qui deviendra Guns N'Roses. Le groupe connaît un premier succès fulgurant avec 'Appetite for Destruction', sorti en 1987, qui se vend à plus de 25 millions d'exemplaires et propulse ses membres au rang de rock stars mondiales. Après une période peu productive, les Guns N'Roses confirment leur talent avec 'Use your Illusion' (I et II) suivi de 'The Spaghetti Incident', album de reprises estampillées punk. A partir de 1993, le groupe connaît des moments difficiles, marqués par les frasques d'Axl Rose qui remplissent les pages des tabloïds, et les départs de plusieurs membres du groupe. En 2006, Guns N'Roses fait un retour sur scène à New York et en Europe. En 2008, le groupe sort son album annoncé depuis des années, 'Chinese Democracy'.
Groupe phare des années 80, Dire Straits s'est formé à Londres en 1976 sous l'égide des frères Knopfler, Mark (guitariste et chanteur) et David. Rejoints par John Illsley (bassiste) et Pick Withers (batteur), ils commencent par louer un petit studio dans la capitale anglaise et y travaillent leurs propres compositions. Ils se font tout d'abord appeler Cafe Racers mais devant le peu d'enthousiasme que provoquent leurs prestations, ils décident de se rebaptiser Dire Straits, littéralement “la dèche”.
Ils n'ont pas un sou en poche mais une farouche détermination pousse Mark Knopfler et ses camarades à poursuivre leurs efforts. Ils enregistrent ainsi la maquette d'un titre appelé à devenir culte, Sultans Of Swing. Celui-ci attire l'attention d'un manager qui leur fait immédiatement signer un contrat d'exclusivité. Quelques mois plus tard, en 1978, arrive le premier album, Dire Straits.
Communiqué
L'album ne connaît pas un succès retentissant mais les Anglais se retrouvent néanmoins à sillonner le vieux continent en ouverture de la tournée des Talking Heads !
Il faut en fait attendre l'année 1979 et l'album suivant, Communiqué, pour que Dire Straits s'installe pour de bon dans les “charts”. Trois millions d'exemplaires sont ainsi vendus. Ce disque, réalisé aux Bahamas, fait une entrée assez remarquée au Billboard américain.
C'est pendant l'enregistrement du troisième album que David Knopfler quitte le groupe. Le guitariste Hal Lindes arrive, ainsi qu'Alan Clark. Certains membres du E. Street Band (groupe de Bruce Springsteen) participent aussi à l'aventure de ce Making Movies (1981). Un opus dans lequel Mark Knopfler laisse déjà entrevoir son goût pour les musiques de films. Il s'y met d'ailleurs peu de temps après pour les besoins de l'excellent Local Hero, sa véritable première oeuvre en solo.
Love Over Gold
Mais il ne quitte pas Dire Straits pour autant puisqu'il réunit tout son monde en 1982, pour mettre en boîte Love Over Gold, peut être le chef-d'oeuvre du groupe ! L'album comporte seulement cinq titres dont la durée est de sept minutes minimum, Telegraph Road approchant le quart d'heure !
Mark Knopfler est quant à lui très actif et attiré par le blues et la country. Il enregistre ainsi avec des artistes tels que Bob Dylan ou Van Morrison.
En 1983, nouveau mouvement au sein de Dire Straits avec le départ de Pick Withers, remplacé par Terry Williams. S'ensuit un mini album, Twisting By The Pool, puis une tournée gigantesque qui passe par l'Australie et, pour la première fois, par le Japon. En juillet, des concerts à l'Hammersmith Odeon de Londres sont captés et figurent dans l'album live Alchemy, sorti en 1984.
Brothers in Arms
L'année suivante marque la naissance du CD et Dire Straits est le premier groupe rock à utiliser ce procédé. En prime, Brothers in Arms, est un triomphe mondial (près de dix millions de ventes !), notamment grâce au titre Money For Nothing, qui brocarde pourtant la chaîne musicale MTV et dénonce l'émergence du vidéoclip. Sting fait les choeurs de ce tube inoubliable. Et Dire Straits de reprendre une nouvelle fois la route pour un marathon de deux cent cinquante concerts à travers vingt-trois pays !
Le 13 juillet 1985, Dire Straits se produit lors du concert “Live Aid” de Wembley, organisé par Bob Geldof au profit des victimes de la famine en Ethiopie. Le show est retransmis sur toute la planète et on compte jusqu'à un milliard de téléspectateurs...
Mark Knopfler, fatigué par tous ces shows extravagants et par la machine infernale qu'est devenue son groupe, décide alors de couper les ponts. Il se consacre à différents projets en solo, produit Tina Turner (Private Dancer) puis monte les Notting Hillbillies à la fin des années 80. Mais l'histoire de Dire Straits ne peut s'arrêter si brutalement !
On Every Street
Dire Straits renaît en 1991 pour On Every Street qui comprend l'excellent Calling Elvis. Une nouvelle tournée (celle de trop ?) est programmée et immortalisée dans le live On The Night, enregistré à Paris Bercy et sorti en 1993. Cette fois-ci, le point final est mis et les fauchés devenus multimillionnaires se quittent pour de bon.
Mark Knopfler sort l'album solo Golden Heart en 1996, puis signe Wag The Dog, la bande originale du film Des hommes d'influence. Il plonge ensuite avec gourmandise dans le nouveau millénaire.
Désormais inscrit dans une lignée nettement plus blues et intimiste, il publie deux nouveaux opus: Sailing To Philadelphia en 2000 et The Ragpicker's Dream en 2002. Dernier album en date, Shangri-La, en 2004. Reconversion réussie alors que son frère, David, roule aussi en solo mais avec nettement moins de réussite...
Syd Barrett et Roger Waters se connaissent depuis l'école. Tout comme David Gilmour, ils étudient dans le même lycée de Cambridge, en Angleterre.
En 1964, Roger Waters rencontre Nick Mason et Rick Wright. Ensemble, ils forment un groupe, Sigma 6, qui change souvent de nom avant de trouver son appellation définitive en 1965, sous l'impulsion de Syd Barrett qui les rejoint. Ce sera donc Pink Floyd. C'est en fait l'association des prénoms de deux musiciens: Pinkney Anderson et Floyd Council...
Pink Floyd va très vite entrer dans l'histoire du rock mondial. Dès 1967, le premier album, The Piper At The Gates Of Dawn est un succès et son principal architecte en est Barrett.
Ce dernier frôle le génie alors qu'il est complètement assommé par la drogue, au point de ne plus être capable d'aligner deux mots d'affilée... L'année suivante, il quitte le groupe pour partir en solo puis... en psychiatrie !
Psychédélisme
Il est remplacé par David Gilmour tandis que Roger Waters s'impose comme le nouveau maître d'oeuvre du groupe. A Saucerful Of Secrets paraît en 1968. Le disque reste dans la même veine psychédélique que le précédent mais avec moins de succès.
Le groupe va alors lentement se diriger vers un rock plus “progressif”, vague émergente alors en Grande-Bretagne, comme en témoignent la bande originale du film More puis Ummagumma en 1969.
Pink Floyd a trouvé son créneau et son public. Cent mille personnes les acclament à Londres, en 1970, quelques mois avant qu'ils n'aillent jouer dans le site historique de Pompéi (le DVD de ce concert est paru en 2003).
The Dark Side Of The Moon
La même année, arrive Atom Heart Mother et une pochette entrée dans la légende, comme la plupart des albums du groupe... Meddle paraît en 1971, un régal de rock progressif pour un groupe alors au sommet de sa créativité. Cet album culte contient notamment le sublime morceau Echoes, considéré par beaucoup comme le chef-d'oeuvre de Pink Floyd.
En 1973, le groupe entre définitivement dans le panthéon du rock avec The Dark Side Of The Moon. Un disque somptueux, qui constitue l'une des plus grosses ventes de tous les temps avec plus de trente millions d'exemplaires... Un album classé plus de sept ans au top 100 américain ! Comment décrocher la lune grâce notamment à une chanson justement intitulée Money !
Deux ans plus tard, c'est Wish You Were Here avec Shine On You Crazy Diamond, suivi par Animals en 1977.
The Wall
Nouveau chef-d'oeuvre en 1979 avec le double The Wall, disque conceptuel et exceptionnel, dont Alan Parker s'inspire pour le film du même nom.
Cet opus signe en fait la fin d'une époque pour Pink Floyd, les dissensions se faisant de plus en plus fortes au sein du groupe. Waters s'isole carrément des autres mais reste toutefois présent jusqu'en 1983, date de parution de The Final Cut.
Il part voler de ses propres ailes mais les ennuis ne sont pas finis puisque trois ans plus tard, il tente d'interdire à ses anciens collègues d'utiliser le nom Pink Floyd. Le tribunal lui donne tort et le groupe publie A Momentary Lapse Of Reason en 1987. Une tournée longue d'un an et riche de deux cents dates est programmée dans la foulée.
The Division Bell
Il faut ensuite patienter sept ans pour découvrir la nouvelle galette, The Division Bell, qui donne également lieu à une série de concerts gigantesques. La France est visitée avec notamment une date au Château de Versailles !
Depuis cette date, deux albums live sont venus compléter une discographie exceptionnelle. Il s'agit de Pulse et de The Wall Live, enregistré lors d'une tournée en 1980.
En 2003 sort le DVD du concert donné par Roger Waters lors de la chute du mur de Berlin en 1990. La même année, pour fêter les trente ans de The Dark Side Of The Moon, une nouvelle édition de cet album mythique voit le jour en coffret de luxe.
Bob Dylan (né Robert Allen Zimmerman le 24 mai 1941 à Duluth, Minnesota - ) est un auteur-compositeur-interprète et un musicien américain dont le style musical a évolué au fil des années : rock, folk, country, blues et jazz sont les exemples de la diversité de son œuvre. Depuis ses débuts dans les années 1960, il a, par ses textes et par sa recherche de voies nouvelles (à l'encontre de son public parfois), sensiblement marqué la culture musicale contemporaine : en témoignent les nombreux artistes qui se réclament de son influence (David Bowie, Jeff Buckley, Tom Waits, Elvis Costello, etc. ), ou le vaste répertoire des chansons qu'il a composées, dans lequel puisent des musiciens de tous les horizons et de toutes les générations (Elvis Presley, The Beatles, Neil Young, U2, P.J. Harvey, The White Stripes, Guns N' Roses, Jimi Hendrix etc.).
Les références dont s'inspire Bob Dylan pour faire évoluer son art sont non seulement à chercher du côté de musiciens américains légendaires, tels Hank Williams, Woody Guthrie et Robert Johnson, mais aussi chez des écrivains de la Beat Generation, comme Jack Kerouac ou Allen Ginsberg. Il apprécie également Arthur Rimbaud, avec qui il sera souvent comparé, et s'intéresse à des dramaturges, tel Bertold Brecht.
Au XXIe siècle, près de 45 ans après la parution de son premier album, Dylan parcourt le monde de concert en concert et continue de composer.
Complexe, en constante évolution (il réinvente régulièrement chacun de ses standards dans différents registres, allant du rock agressif au jazz en passant par les ballades), proche des aspirations sociales et culturelles des époques qu'elle a traversées, l'œuvre de Dylan a, peut-être plus que toute autre, fait évoluer le rôle de la musique populaire en Occident (cf. Analyses). Depuis 1997, Bob Dylan est régulièrement mis en nomination pour l'obtention du Prix Nobel de littérature. Par ailleurs, les textes de ses chansons, qui se situent entre poésie surréaliste et musique traditionnelle américaine, sont étudiés dans les universités américaines. Son dernier album studio, Modern Times, paru fin aout 2006, est entré directement n°1 dans les charts aux États Unis, faisant de lui l'unique chanteur au monde âgé de 65 ans encore en vie, n°1 au hit parade.
Fuyant les pogroms qui secouèrent l'Europe de l'Est à fin du XIXe siècle, Ben D. Stone, le grand-père maternel de Robert Allen Zimmerman s'installe à Hibbing. Ses grands-parents paternels, qui ont fui Odessa en 1907, s'installent à Duluth, dans le Minnesota. Abraham Zimmerman et Beatrice Stone, les futurs parents de Bob, s'y rencontrent et s'épousent, en 1934. Bob, né en 1941, passe sa petite enfance à Duluth puis en 1947, déménage avec ses parents et David, son jeune frère, à Hibbing[1].
Hibbing
Hibbing est à l'époque une ville minière d'environ 17000 habitants, aux mœurs conservatrices et de tradition catholique. Abraham, guéri de la poliomyélite qu'il a contractée à Duluth, ouvre une quincaillerie. Vers l'âge de 8 ou 9 ans, Robert s'initie au piano puis plus tard, à la guitare et à l'harmonica. Il se passionne tout d'abord pour la musique country de Hank Williams dont il répète les morceaux, et écoute des radios qui diffusent du blues, tel que celui de Muddy Waters, Howlin' Wolf, John Lee Hooker et Jimmy Reed[2]. Il sera également marqué par Elvis Presley, Buddy Holly, Bill Haley et Little Richard, dont la gestuelle scénique et les attitudes anticonformistes fascinent la génération adolescente autant qu'elles scandalisent ses aînés[3].
Au lycée[4], Dylan intègre des petites formations, telle que The Golden Chords, et avec lesquelles il joue dans des fêtes et des « Talent contests ». Avec des amis partageant son goût pour la musique, il étend sa culture musicale en échangeant des disques de jazz et de rythm and blues[1]
Fils de diplomate, Chris de Burgh ne s'installe qu'à l'âge de douze ans en Irlande, dans un château que ses parents ont transformé en hôtel. Le jeune homme apprend la guitare et joue ses premières compositions en public au Trinity College de Dublin, où il étudie le français et l'anglais. Décrochant en 1974 un contrat avec A&M Records, il entreprend une tournée en première partie du groupe Supertramp. Son album 'Into The Light' de 1986 lui permet d'atteindre la consécration avec la chanson 'Lady In Red', qui devient numéro un dans plus de vingt-cinq pays et demeure jusqu'à aujourd'hui parmi les chansons les plus jouées au monde. L'album 'Flying Colors' de 1988 a moins d'impact aux Etats-Unis mais connaît un succès retentissant en Allemagne. Sentant le moment venu de tenter une nouvelle expérience musicale, Chris de Burgh enregistre un album regroupant ses plus grands succès, accompagné d'un orchestre symphonique. Depuis 2004, il dirige sa propre maison de disques sous le label Ferryman Productions. Chris de Burgh revient à la charge en 2006 avec un nouvel album, 'The Storyman', aux couleurs des rythmes musicaux du monde. L'album est très apprécié par la critique.
Parmi tous les Beatles, c'est sans aucun doute John Lennon qui a eu la carrière en solo la plus intéressante, mais aussi la plus frustrante. Lennon était capable de créer des pièces à la fois inspirées, criantes d'honnêteté et mélodieuses. Il avait aussi tendance à se reposer sur ses lauriers, produisant un rock 'n' roll générique sans trop d'effort. Mais les extrêmes, autant d'un point de vue professionnel que personnel, le rendaient fascinant. Alors que Paul McCartney se contentait de son statut de rock star, Lennon a touché à tout, que ce soit la politique révolutionnaire ou les talk-shows télévisés des années 70. Après avoir lancé deux albums très prisés de la critique, soit « John Lennon/Plastic Ono Band » et « Imagine » au début des années 70, Lennon a par la suite sombré dans une période où sa contribution musicale était inégale et son comportement public souvent gênant. Au milieu de la décennie, il décida de quitter les projecteurs pour se concentrer sur sa vie de famille.
En 1980, il tente un retour avec sa femme Yoko Ono en lançant l'album « Double Fantasy » à l'automne. Alors que sa carrière semble être relancée, Lennon perd tragiquement la vie alors qu'il est abattu devant sa résidence de New York, le 8 décembre 1980. Il ne laisse pas qu'un souvenir musical, mais aussi une impressionnante contribution comme auteur, acteur et activiste.
Quand on considère l'importance de son travail avec les Beatles, on a tendance à oublier la carrière en solo de John Lennon. Même alors que la Beatlemania était à son sommet, Lennon commençait déjà à explorer à l'extérieur du groupe. En 1964, il publie un recueil de ses écritures intitulé « In His Own Write » qui est suivi, en 1965, par « A Spaniard in the Works ». De plus, il apparaît dans la comédie de Dick Lester « How I Won the War », en 1966. Ce n'est toutefois qu'en 1968 qu'il commence à s'aventurer musicalement en dehors des cadres du groupe alors qu'il enregistre en compagnie de Yoko Ono un collage sonore expérimental qu'il baptise « Unfinished Music, No. 1 : Two Virgins ».
Le disque cause une certaine controverse en raison de son contenu et de sa pochette où l'on voit Lennon et Ono complètement nus. Le couple se marie peu de temps après, soit le 20 mars 1969 à Gilbratar. Pour leur lune de miel, ils décident d'organiser une manifestation politique qui se traduit par un bed-in pour la paix au Hilton d'Amsterdam. Plusieurs mois plus tard, les disques avant-gardistes « Unfinished Music, No. 2 : Life With the Lions » et « The Wedding Album » sont lancés en même temps que le simple « Give Peace a Chance » qui avait été enregistré au cours du bed-in.
En septembre 1969, Lennon remonte sur scène en se produisant dans le cadre du Festival rock & roll de Toronto. Il est entouré du Plastic Ono Band qui est composé de Yoko Ono, d'Eric Clapton à la guitare, de Klaus Voormann à la basse et d'Alan White à la batterie. Le mois suivant, le groupe lance « Cold Turkey » qui fait référence à la lutte que livrait Lennon à l'héroïne. Avant la parution de l'album, Lennon fait part aux Beatles de son intention de quitter le groupe, mais il accepte de ne pas en parler publiquement avant que les négociations entre Allen Klein et EMI soient conclues. Lennon et Ono poursuivent leur action pour la paix en placardant des panneaux d'affichage avec le slogan « War Is Over (If You Want It ») dans une douzaine de villes. En février 1970, il compose, enregistre et réalise le simple « Instant Karma » en l'espace d'une semaine. La pièce remporte un vif succès, atteignant le Top 10 en Grande-Bretagne et aux États-Unis. Deux mois plus tard, Paul McCartney annonce la séparation des Beatles, ce qui met Lennon en colère. Il passe sa rage dans son premier véritable album en solo, « John Lennon/Plastic Ono Band », un disque confessionnal inspiré par la thérapie du cri primal qu'il suit avec Yoko Ono. Pour mousser la sortie de l'album, Lennon accorde une longue interview au magazine Rolling Stone au cours duquel il fait tomber de nombreux mythes au sujet des Beatles.
Au début de 1971, il lance un autre simple contestataire intitulé « Power to the People » et déménage ensuite à New York. L'automne suivant, il lance le magnifique album « Imagine », dont la pièce-titre atteint le Top 10. Au cours de la même période, Lennon et Ono recommencent leur activisme politique, appuyant publiquement certains radicaux américains comme Abbie Hoffman, Jerry Rubin et John Sinclair. Leur implication politique grandissante donne naissance à l'album double « Sometime in New York City » qui est lancé au cours de l'été 1972. L'album est composé de chansons politiques pour la plupart très simplettes. Conséquemment, le disque se vend mal et contribue à ternir l'image de Lennon.
« Sometime in New York City » marque le début d'une descente aux enfers de trois ans pour Lennon. Peu de temps après la sortie, il commence une longue bataille avec le service américain de l'Immigration qui refuse de lui accorder un permis de travail en raison d'une condamnation pour possession de marijuana, en 1968. En 1973, on lui ordonne de quitter les États-Unis et il lance une bataille contre le service de l'Immigration, l'attaquant régulièrement en public. L'album « Mind Games » est lancé à la fin de 1973 et est accueilli par des critiques partagées. L'année suivante, Lennon et Ono se séparent, le chanteur décide de s'établir à Los Angeles où il amorce un passage à vide d'un an et demi. En 1974 et 1975, Lennon mène une vie de débauche à Los Angeles, faisant continuellement la fête avec des personnalités connues comme Elton John, Harry Nilsson, Keith Moon, David Bowie et Ringo Starr. En novembre 1974, il lance « Walls and Bridges » qui remporte un fort succès en raison de la pièce « Whatever Gets You Through the Night » composée en compagnie d'Elton John. À la fin de l'année, Elton John contribue à rabibocher Lennon et Yoko Ono, convainquant l'ancien Beatle de participer à l'un de ses concerts qui deviendra la dernière prestation de Lennnon.
La période de sombre Lennon n'a pas que du mauvais puisque l'album « Rock & Roll » paraît au printemps 1975. Il s'agit d'une collection de vieux standards rock repris par le chanteur. Quelques mois avant sa sortie officielle, l'album est lancé par Morris Levy sous le titre « Roots ». Lennon le poursuit et gagne sa cause. En octobre 1975, la Cour d'appel des États-Unis renverse l'avis de déportation émis par le service de l'Immigration et Lennon obtient finalement sa carte de citoyenneté l'été suivant. Après avoir co-écrit le titre « Fame » sur l'album « Young Americans » de David Bowie, Lennon quitte doucement le monde de la musique, préférant se consacrer à sa famille qui s'agrandit avec la naissance de son fils Sean, en octobre.
Au cours de l'été 1980, Lennon retourne en studio après avoir signé un nouveau contrat avec Geffen Records. Composé de pièces écrites par Lennon et Yoko Ono, « Double Fantasy » est lancé en novembre et est accueilli favorablement par la critique. Alors que l'album grimpe dans les palmarès, Lennon est assassiné le 8 décembre par Mark David Chapman, un fan désaxé. Le décès de Lennon sème l'émoi partout à travers le monde et le 14 décembre, plus de 14 millions de fans à travers le globe participent à une vigile silencieuse de dix minutes à 14 heures, heure de l'Est. « Double Fantasy » et le simple « (Just Like) Starting Over » deviennent d'énormes succès à la suite de sa mort. Au cours des années qui suivent son décès, de nombreux albums de matériel inédit font surface, le premier étant « Milk and Honey » en 1984, le plus substantiel étant probablement le coffret « Anthology » en 1998. En 2003, le DVD « Lennon Legend - The Very Best of John Lennon ».
Grâce à un hard rock FM précis et chromé et un chanteur à la voix rocailleuse, Foreigner était une référence du genre dans les années 80. Formés en 1977, Foreigner font alors figure de groupe de seconds couteaux un peu balourds, hésitant entre le hard rock et le son californien. La formule commence à produire des tubes et pose les fondations du rock FM avec 4 en 1981. Foreigner sont des tenants d'un rock énergique et léché qui a toujours sa place sur la bande FM.
Autour de Mick Jones, ancien guitariste de Johnny Hallyday, ce groupe anglo-américain se lance dans le hard rock alors très en vogue. Bientôt, Foreigner assagit sa musique et son comportement pour devenir le représentant n° 1 du rock FM, calibré pour plaire à tout le monde, et qui envahit les radios américaines dans les années 80.
« Urgent » (1981) et « I Want To Know What Love Is » (1984) réalisent pleinement cet objectif. La décennie à venir sera pourtant fatale à Foreigner. En 1990, le chanteur Lou Gramm fait ses valises, et ses successeurs ne dureront pas longtemps.
En 1995, Mr. Moonlight (avec Duane Eddy à la guitare sur un titre) est le dernier album en date d'un groupe qui est tombé aux oubliettes. Une nouvelle mouture du groupe est bien tentée en 2004, avec en particulier Jason Bonham à la batterie. Foreigner reste le groupe de quatre albums qui ont défini le son d'un hard rock policé, idéal pour les trajets d'autoroute, baptisé fort justement rock FM.
John Robert Cocker, rebaptisé Joe Cocker, est né dans le Yorkshire, à Sheffield, le 20 mai 1944, et ne se destine en rien à la musique ! Il débute en effet un apprentissage de la plomberie qu'il arrête à l'âge de seize ans !
Le virus musical le saisit à l'adolescence et il devient le chanteur de The Cavaliers, groupe emmené par son frère et qui se rebaptise peu après Vance Arnold and The Avengers.
Beatles
Joe Cocker enregistre un véritable premier single en 1963. C'est une reprise des Beatles, I'll Cry Instead, mais il n'a pas la même réussite que ses copains du bord de la Mersey !
Il intègre ensuite un nouveau groupe, Grease Band, mais ne renonce pas à son rêve et surtout à ses influences. C'est ainsi qu'il revisite à nouveau le répertoire des Fab Four en reprenant le fameux With A Little Help From My Friends.
Woodstock
Nous sommes en 1968 et la carrière de Joe est lancée ! Il triomphe grâce à son premier album, sur lequel il convie toutes les pointures anglaises de l'époque (Jimmy Page de Led Zeppelin, Keith Moon des Rolling Stones, Steve Winwood).
En 1969, il fait partie des grosses révélations du légendaire festival de Woodstock. L'année suivante, il entreprend une longue tournée aux États-Unis avec un groupe formé pour l'occasion, Mad Dogs And Englishmen, et un album du même nom.
Déchéance
Les années 70 sont plutôt synonymes d'alcool et de drogue pour Joe Cocker. Paradoxalement, malgré cette déchéance, il reste très populaire outre-Atlantique, contrairement à son pays natal qui l'a déjà rangé aux oubliettes.
Il continue d'enregistrer à intervalles réguliers des albums de plus ou moins bonne facture: I Can't Stand A Little Rain en 1974, Stingray en 1976 et Luxury You Can Afford en 1978.
Up Where We Belong
Il faut attendre 1982 et une sévère cure de désintoxication pour que Joe Cocker réapparaisse de manière spectaculaire. Il signe le somptueux Sheffield Steel, épaulé par des musiciens de génie comme Sly Dunbar et Robbie Shakespeare.
A la fin de la même année, il interprète le thème principal du film Officier et Gentleman, en duo avec Jennifer Warnes: Up Where We Belong.
En 1984, il est à nouveau sollicité par le cinéma et la bande originale de “Neuf semaines et demies” est un succès retentissant ! Il s'agit cette fois-ci d'une reprise de Randy Newman, You Can Leave Your Hat On.
Unchain My Heart
Désormais débarrassé de ses vieux démons, Joe Cocker entame une nouvelle carrière et aligne les albums. Civilized Man (1984), Unchain My Heart (1987 - avec la chanson titre empruntée à Ray Charles), One Night Of Sin (1989), Night Calls (1992), Have a Little Faith (1994), Organic (1996) et Accross From Midnight (1997).
Il y a quelques jolis tubes à la clé et surtout, la possibilité pour Joe Cocker de travailler avec divers auteurs. C'est ainsi que pour No Ordinary World, en 1999, on note les contributions de Bryan Adams (déjà présent sur One Night Of Sin) et de... Jean-Jacques Goldman !
Heart & Soul
En 2002, Cocker approche les quarante ans de carrière et célèbre cet anniversaire avec Respect Yourself, qui est lancé par une nouvelle reprise, une élégante version de Never Tear Us Apart, interprété à l'origine par le groupe australien INXS.
L'ancien plombier confirme cette propension à populariser les oeuvres des autres et il consacre tout à un album à cet art qu'il maîtrise tant en 2004: Heart & Soul dans lequel il nous offre une collection de douze grands standards tels que One (U2), Every Kind Of People (Robert Palmer), Everybody Hurts (R.E.M.) ou Jealous Guy (John Lennon).
Si les groupes de rock s'articulent généralement autour de la personnalité charismatique du leader (Jagger pour les Rolling Stones, Robert Smith pour The Cure ou encore Kurt Cobain chez Nirvana), rares sont ceux qui eurent le privilège de voir émerger un artiste d'une envergure comparable à celle de Freddie Mercury.
Freddie Mercury, de son vivant et bien au-delà de sa mort, porta aux nues le groupe Queen, transformant en mythe l'une des formations les plus originales du rock de ces trente dernières années.
Rencontre au cours des golden sixties
Queen naît de la rencontre, dans l'Angleterre en effervescence musicale des années 60, de deux grands artistes en devenir: Brian May et Faroock Bulsara, alias Freddie Mercury.
Le premier commence la guitare à sept ans et devient rapidement un musicien talentueux et hors normes. Son instrument: une “Red Special” entièrement conçue avec l'aide de son père ingénieur électronique, et qui l'accompagne encore de nos jours.
Son premier groupe, nommé 1984, en hommage au roman de George Orwell, se hisse au sommet en se produisant en 1967 en première partie du génial Jimi Hendrix, mais implose la même année.
Rock glamour
Roger Taylor rallie le premier la nouvelle formation de May, Smile, et est rapidement rejoint par un jeune étudiant d'origine tanzanienne: Farook Bulsara. Sous l'impulsion de ce jeune homme extravagant, Smile disparaît et devient Queen en 1970.
Choisi pour sa superbe et le symbole universel de la puissance, ce nom va devenir rapidement le synonyme d'un rock original et coloré, savant mélange des genres heavy, glam et rock. Sous sa forme définitive (May, Mercury, Taylor et Deacon à la basse), Queen signe son premier contrat en 1971 chez Trident, petit label qui leur permet la même année d'enregistrer un premier album, sobrement intitulé Queen.
Queen II puis Sheer Heart Attack, leurs deux albums suivants, attirent l'attention de la major EMI, et ce malgré les critiques virulentes dont le groupe fait l'objet. Mais c'est surtout l'album A Night At The Opera en 1975 qui marque l'envol des quatre comparses.
Eclairé par le sublime Bohemian Rhapsody, véritable morceau de bravoure dont les arrangements et le clip révèlent une formation hors du commun, l'album devient en peu de temps une référence. Puis commence la série de tubes: Somebody To Love, We Will Rock You, We Are The Champions, Killer Queen, ... portent le groupe au sommet.
Des concerts hors du commun
Mais c'est avant tout sur scène que Queen conquiert ses lettres de noblesse, comme le prouve ce Live Killers en 1979, sorte de “best of live” de leurs premiers grands titres. Art de la mise en scène et du costume, sens du théâtre, compositions recherchées, parfaitement accompagnées par une voix en or. Queen se place rapidement parmi les meilleurs groupes de rock de la décennie.
Durant près de dix ans, jusqu'en 1988, les quatre musiciens vont sillonner le monde, du Brésil en Europe, réunissant des millions de personnes autour de spectacles grandioses, à la manière, quelques années plus tard, des machines technologiques des U2 ou autres Rolling Stones.
Parallèlement, la sortie de chacun de leurs albums est désormais saluée par une critique unanime et un public de plus en plus nombreux. The Works en 1983 aligne une série impressionnante de tubes (Radio Gaga, I Want To Break Free, It's A Hard Life, Hammer To Fall, ...) et le volume un des Greatest Hits devient un des albums les plus vendus au monde.
Conscients du pouvoir de l'image, Freddie Mercury et ses hommes jouent alternativement avec les apparitions scéniques et télévisées. Lors de la sortie de leur album A Kind Of Magic en 1985, ils mettent en place toute une série de mises en scène destinées à habiller la diversité et la richesse de leur musique. Le clip vidéo alors en plein essor correspond parfaitement à ce besoin et chacun des clips du groupe est un véritable joyau cinématographique (parodie, travestissement, effets spéciaux, comédie).
The Miracle en 1989 puis Innuendo en 1991 confirment la domination sans faille des quatre rockers anglais sur le monde musical. Mais alors que Mercury n'a jamais caché son homosexualité et que croît sans cesse le SIDA, cette terrible maladie, de nombreuses rumeurs circulent. Les incessants démentis du groupe calment pour un temps la rumeur, mais soudainement, en novembre 1991, Freddie Mercury en personne, malade et affaibli, annonce dans un communiqué de presse sa séropositivité. Comme un couperet, la nouvelle tombe le 23 novembre 1991: le chanteur est décédé à son domicile londonien de la place Logan.
Salué par les plus grands artistes de notre époque, d'Elton John à Axel Rose, de George Michael à Mick Jagger, et par des millions de fans anonymes, Mercury laisse derrière lui un dernier album Made In Heaven, et son tube aux accents prémonitoires The Show Must Go On (le spectacle doit continuer), enregistré dans des conditions très difficiles, alors qu'il souffrait déjà de sa maladie.
Ses trois compagnons de route, orphelins de coeur, font aujourd'hui encore perdurer la magie Queen. Mais sans la figure emblématique de ce quatuor exceptionnel, il ne reste guère que les souvenirs (live, compilations, rééditions, inédits) pour perpétuer le talent et le génie d'un artiste inoubliable.
Le mythique groupe des Rolling Stones a été fondé au début des années 60 par Mick Jagger et Keith Richards, en Angleterre.
Jagger et Richards se sont rencontré sur les bancs de l'école, avant de se perdre de vue. Ils commencent à s'intéresser à la musique, chacun de leur côté, et se retrouvent par hasard. Ils décident de monter un groupe de rock et s'associent à Brian Jones, Mick Avory et Dick Taylor. Mais le courant ne passe pas avec ces deux derniers. Ils seront remplacés par Charlie Watts et Bill Wyman.
Leur nom, les Rolling Stones vient d'une chanson de Muddy Watters, "Rollin' Stone blues".
Leur premier 45 tour sort en 1963, il s'agit de "Come on". Ils sont tout de suite en concurrence avec un autre groupe Anglais très populaire dans le monde : les Beatles. Ils vont même marcher sur leurs plates bandes en s'exportant habilement aux Etats-Unis.
En août 65 c'est la consécration avec le tubes "Satisfaction". Rien n'arrête les Stones, pas même leurs problèmes avec la justice. A partir de cet instant, ils enchaînent les tubes. Mais en 1969, un coup dur frappe le groupe : Brian Jones décide de se lancer en solo et quitte la formation. Aux prises avec la drogue, il meurt à peine un mois plus tard. Le groupe aura beaucoup de mal à lui trouver un remplaçant.
Les années 70 marquent un nouveau tournant. Les Beatles se séparent, laissant le champs libres aux Stones. Ils décident de quitter leur maison de disque pour fonder leur label, Rolling Stones Records. En 1973, ils sortent "Angie" une ballade qui cartonne directement dans les charts.
Les années 80 arrivant, les Stones s'imposent comme de véritables bêtes de scène, finissent par trouver leur formation définitive en engageant Ron Wood et Darryl Jones (aux places de Jones et Wyman). Ils se font les pro des méga-concert dans les stades.
Dans les années 90, leur style n'a pas pris une ride et les Stones sont toujours au top. "Voodoo loundge" en 94 et les albums qui ont suivit montre que les papys du rock savent encore faire de bonnes chansons.
2005, nouvel album, "A bigger Bang", nouvelle tournée... Les vieux loups du rock sont sur tous les fronts !
Leur tournée va connaître quelques tourments puisqu'elle va être décalée de quelques semaines à causes des problèmes de santé de Keith Richards, l'un des guitaristes du groupe mythique. Alors qu'on croyait le groupe reparti de plus belle, les rockeurs connaissent un nouveau problème, Ronnie Wood aurait été hospitalisé pour une cure de désintoxication suite à son addiction à l'alcool. Cependant cette courte hospitalisation ne devrait pas chamboulée plus que cela la tournée.
Leur premier concert européen est maintenu au 11 juillet 2006 en Italie, à Milan.